Vous hésitez entre vous tourner vers un professionnel pour revendre votre voiture ou réaliser l’opération de gré à gré, c’est-à-dire de vous à un particulier. Si vous décidez de choisir la seconde option, attention aux contraintes et aux précautions à prendre.
Une opération contraignante sur la durée
Les démarches pour trouver l’acheteur peuvent prendre du temps. Vous devez en effet vous organiser sur les rendez-vous :
- rencontre avec l’acheteur potentiel
- vérifications et essais sur route : jouez la carte de la transparence et de l’honnêteté et déclarez à l’avance les atouts de même que les faiblesses éventuelles sur votre voiture. Cela, que ce soit sur le plan aussi bien mécanique qu’administratif.
- négociations : cette étape n’est pas toujours des plus faciles même si vous vous référez à la cote Argus ou aux simulateurs en ligne pour évaluer le prix de votre voiture. Ne fixez pas un prix au-dessus de la concurrence.
La vente peut ne pas non plus aboutir : vous devez alors remettre le compteur à zéro : générant contretemps, démarches et nouveaux projets retardés.
Les risques et les précautions à prendre
Nombreux sont aujourd’hui les arnaqueurs qui émettent de faux chèques de banque ou de faux ordres de virement. Vigilance également sur les propositions d’échelonnement du paiement : en cas d’acheteur douteux, peu fiable ou mal intentionné.
La meilleure solution est donc de se tourner vers un professionnel, tel que le mandataire auto par exemple. Les procédures sont totalement sécurisées d’une part, et la vente se fera dans les meilleurs délais – se renseigner sur www. glinche-automobiles.com. Songez aussi à la reprise, une excellente solution si vous souhaitez changer de voiture, neuve ou d’occasion.
Vous risquez néanmoins de revendre votre véhicule à un prix légèrement inférieur à celui de votre estimation. En effet, le mandataire va y déduire un certain pourcentage correspondant à ses commissions ainsi qu’aux frais de réparation divers.